--Des révélations émises par les services de renseignements français. Nous apprennent que les attentats perpétrés à New York et à Washington il y a de cela quelques temps (1an et demi environ), auraient dû être commis au préalable dans capitale française, Paris. Deux terroristes venus du Moyen Orient sont arrivés à Paris avec la ferme intention d'accomplir le "châtiment d'Alllah contre tous ces infidèles français", mais n'ont pu arriver à leur fin. Voici le résumé et l'itinéraire de l'expédition de ces deux terroristes, une fois arrivés sur le territoire français.
* Dimanche 23.30 : débarquement à l'aéroport de Roissy CDG, en provenance de Turquie. Ils quittent enfin l'aérogare après huit heures d'attente de bagages qui avaient été perdus. Ils prennent le taxi. Le chauffeur les observe dans le rétro, et à la vue de leur faciès de touristes, décide de leur faire faire le tour de la ville. Devant leur mutisme, le compteur affichant déjà 800 frs, il décide de les achever en prenant le périf et se colle dans les embouteillages. Après une pause pipi Gare du Nord, un complice du chauffeur monte, leur soustrait les bagages, leur distribue quelques baffes, et les deux terroristes se retrouvent sur le carreau.
* Lundi 12.00 : retrouvant leurs esprits après le pugilat, les deux
terroristes réussissent à gagner un hôtel près de Montparnasse. Ils louent une voiture et 10 minutes avant d'arriver à la Concorde, ils se retrouvent immobilisés par une manifestation des agents de la RATP, quelques profs en grève, une poignée d'agriculteurs, sans oublier les camionneurs, des infirmiers, des fonctionnaires etc...........................
* Lundi 16.00 : Ils arrivent enfin sur les Champs. il leur faut changer
de l'argent pour être tranquilles. Ils ont des dollars, et on leur change contre des Pascals.
* Lundi 19.30 : Ils se dirigent vers Orly en vue d' y détourner un avion
d'Air France et le crasher sur la Tour Eiffel. Malheureusement les pilotes d'Air France sont en grève car ils veulent toucher 4 fois leur salaire et faire moins d'heures, et les contrôleurs aériens sont en pleine partie de poker, car eux aussi veulent gagner plus. Le seul avion sur la piste est celui d'Air Liberté qui a 18 heures de retard ..
Les employés et les passagers campent dans l'aérogare, chantant des
rengaines populaires, criant des slogans assassins contre Swissair et le gouvernement. Les CRS se lancent à l'assaut de la foule, tout le monde prend des coups, un beau bordel ...
* Lundi 19.45 : devant tel contexte instable, les deux terroristes songent
à changer leur plans et décident d'aller faire sauter Monaco. Ils se dirigent vers le comptoir d'air Littoral, et l'employé, leur vend des billets pour un vol qui n'existe déjà plus.
* Lundi 20.00 : à cette heure, les terroristes commencent à se demander si faire sauter Paris ne serait pas considéré comme un acte de charité.
* Lundi 20.30 : Morts de faim, ils décident alors d'aller manger quelque
chose au Hilton Orly. ils prennent des asperges, une omelette et du jus d'orange.
* Lundi 00.35 : Ils essaient de se remettre, à l'Hôpital Pompidou, d'une
salmonellose provoquée par l'omelette, après avoir attendu des heures aux urgence, ils n'auraient dû rester que quelques jours à l'hôpital, mais ils y ont aussi attrapé une légionnellose à cause de l'air conditionné.
* Samedi 19.00 : quelques jours après ils sortent enfin de l'hôpital et se
retrouvent tout près du Parc des Princes ou se joue un PSG/OM. Une bande de skins leur cassent la figure.
Les supporters du KOP les prennent pour des bronzés marseillais. autre
bagarre....
Les terroristes , pour oublier tout ça, décident alors d'aller se bourrer
la gueule, parce que "tout fout le camp, et qu'ils n'arrivent à rien" on leur sert un pichet de villageoise et retour direct à l'hôpital pour infection urinaire aiguë.
* Samedi 23.45 : les terroristes pas bien du tout se font la malle
direction Gibraltar, prennent une patère à Cadix et se laissent entraîner vers le Maroc. Ils se jurent, parole de Bin Laden, de ne jamais remettre les pieds dans notre pays et estiment qu'il est moins risqué d'aller poser des bombes ailleurs.
La marque de la haute école, se trouve donc, non dans des mouvements plus ou moins extraordinaires, mais dans la parfaite légèreté, que les mouvements soient simples ou compliqués.